Prolactine : Qui es-tu ? Que veux-tu ? d’Où viens-tu ?
Alors que nous étions vraiment confiantes, sans aucun stress, avec la certitude que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes…nous voilà avec des résultats d’analyse qui sont bons dans l’ensemble sauf sur un seul point : la prolactine.
Le hasard a fait que nous connaissions déjà un peu cette vilaine chipie car des amies à nous « galèrent » depuis quelques mois maintenant à essayer de faire baisser le taux pour pouvoir aller à en Belgique…pas si facile…
C’est donc un petit coup sur la tronche qu’on s’est pris lorsqu’on a vu le taux de prolactine…
Mais bon pas d’affolement, cela se soigne avec des médicaments ou avec une chirurgie (le dérèglement peut être du à une tumeur bénigne de l’hypophyse). Rappelez-vous les cours de bio, c’est l’hypophyse qui « gère » les hormones sexuelles (oui je sais c’est un peu raccourci mais tout le monde a compris, non ?) et là visiblement elle débloque un peu…
Les trucs qui m’angoissent le plus c’est
1) de ne pas réussir à faire baisser le taux
2) que notre dossier soit rejeté pour cette raison
3) que le taux finisse par baisser mais pas de façon constante
4) que les insés ne marchent pas
5) qu’on arrive au bout des 5 insés sans que ça ait marché (cela étant, le médecin lors de notre premier RV ne nous a pas parlé de limite en nombre d’insé, nous avons cette info sur un forum).
La liste pourrait s’allonger mais faut pas non plus se laisser abattre, optimiste je suis, optimiste je reste et je me connais une immense faculté à encaisser et accompagner les moments difficiles.
Alors Carpe Diem…
Mutine